Selon la société civile, ces affrontements ont éclaté vers mi-juillet lorsque les Maï-Maï, qui dénoncent l’exploitation illégale des ressources forestières, ont attaqué les positions de la Force publique.
Les déplacés demandent aux autorités provinciales et aux partenaires humanitaires de leur venir en aide, car ils n’ont pas accès à l’eau potable, aux soins de santé et à un logement décent. La majorité dorment à la belle étoile et survivent grâce à la générosité de la population locale.
Cette situation précaire pourrait aggraver leur vulnérabilité face aux épidémies telles que le choléra et le paludisme.