Dans la province du Congo, la population est sous le choc après l’assassinat d’un opposant politique, Chérubin Okende. Le député, également porte-parole du parti « Ensemble pour la République », a été retrouvé sans vie, entraînant une vague de contestations et d’indignations.
En parcourant les réseaux sociaux, on découvre la tristesse et la colère qui animent la population après cette découverte macabre. Claudel-André Lubaya, un autre député national, l’a qualifié de « crime d’état inacceptable, inexcusable et impardonnable ».
D’autres expressions de consternation ont été exprimées par des figures politiques comme le sénateur Matata Ponyo, qui a désigné cette situation comme un « régime de terreur et de dictature inqualifiable ». Martin Fayulu, un autre opposant, a également exprimé son chagrin, qualifiant le meurtre de Chérubin Okende de « crime odieux, qui s’apparente à un assassinat politique et ne peut rester impuni ».
Delly Sesanga, une autre figure politique de l’opposition, a dénoncé cet acte comme une preuve de l’incapacité du régime à garantir la sécurité de ses citoyens. Pour lui, c’est une volonté claire d’insuffler la terreur dans le pays.
Cependant, en dépit de cette tragédie, la mémoire de Chérubin Okende a été honorée par Patrick Nkanga, un membre du PPRD. Il a rappelé la cohérence politique et la dignité de l’homme qui a préféré démissionner du gouvernement plutôt que de renoncer à ses convictions. Sa mémoire, selon Nkanga, restera gravée dans la conscience collective.
Finalement, toutes les positions sont unanimes pour dénoncer cet acte et exiger que justice soit faite. L’appel à une enquête impartiale et transparente est lancé, en espérant que toute la lumière soit faite sur cette tragédie.