Goma, symbole d’une spirale d’insécurité, attire désormais l’attention par les chiffres alarmants révélés par l’Asbl Uwema. Le rapport « Carnet sécuritaire » dévoilé le vendredi 4 octobre dresse un bilan accablant : onze assassinats, une vingtaine de cambriolages, et deux enlèvements, rien que pour le mois de septembre. Goma, cette ville pourtant dynamique de la province du Nord-Kivu, semble prise en otage par la criminalité.
Chantal Faida, fondatrice de l’Asbl Uwema, tire la sonnette d’alarme et exhorte les autorités à une prise de conscience collective. Elle plaide pour l’implication active des citoyens dans la recherche de solutions durables contre cette violence qui se répand. Comment tolérer ces actes odieux où l’impunité semble régner ?
L’augmentation des assassinats et des meurtres comparée au mois d’août laisse entrevoir une urgence que les autorités ne peuvent ignorer. La sécurité à Goma est-elle vouée à rester un sujet de préoccupation sans fin ? Mme Faida en appelle au courage des Gomatraciens pour dénoncer les suspects dans leurs quartiers. Cette participation citoyenne pourrait-elle enfin renverser la tendance, quand les autorités peinent visiblement à contenir la vague de violence ?
Alors que les médias congolais relayent cette situation d’urgence en RDC, ce dernier événement en RDC met en lumière des défis sécuritaires persistants. Dans ce contexte, l’actualité en RDC résonne avec un écho particulier, espérant attirer l’attention de tous pour un changement décisif.
Source: radiookapi.net