Les employés politiques et d’assistance à la Commission nationale des Droits de l’Homme (CNDH) ont entamé des protestations ces derniers jours, à propos de leurs postes qui ont été gelés afin de permettre à l’institution d’effectuer de nouvelles réformes et de faire renaître l’ordre. Interrogé par [source], le Président de CNDH, Paul Nsapu a assuré : « Nous n’avons licencié personne. Nous avons trouvé 4 à 5 personnes pour un même poste et qui touchent leur salaire chaque mois sans travailler. »
M. Nsapu s’entretient avec Jeef Ngoy dans [lien] afin de discuter de la situation. Les citoyens espèrent comprendre les décisions prises par la CNDH et attendent avec impatience un dysfonctionnement amélioré.