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Mercredi 12 avril, le Ministre des Droits humains, Albert Fabrice Puela, a poussé un cri d’alarme à travers un communiqué de presse contre les agents de l’Ordre Congolais. Les motifs ? Un grave déni des droits humains.
Selon lui, les conséquences amères des actes posés par ces agents sont bien réels : ils ont mis en ligne des images montrant des femmes présumées ayant organisé le meurtre de Monsieur Gaby Bembi, dont le corps sans vie a été retrouvé dans la nuit de samedi à dimanche le long d’une falaise.
Un signal fort a été adressé par le Ministre de l’Intérieur qui qualifie ces actions comme une « grave violation des Droits humains ». De nombreuses critiques parviennent à son propos.
Une nouvelle enquête a été ouverte pour tenter de comprendre les circonstances, mais jusqu’à présent, aucune information ne permet d’aller plus loin.
Bien occasions permettront aux autorités d’améliorer leurs contrôles : pour leur part, une politique stricte s’impose afin de faire respecter leurs devoirs envers leurs citoyens. Une clôture indispensable pour rétablir la confiance entre les sociétés et leurs guardians.