Vital Kamerhe, président de l’Assemblée nationale de la République Démocratique du Congo (RDC), a posé un geste fort en faveur de la transparence et de la bonne gouvernance. Lors d’une rencontre avec les responsables de la Cour des Comptes à Kinshasa, il a exhorté ces derniers à doter les élus nationaux d’outils essentiels pour le contrôle des dépenses publiques. Cette démarche, saluée par le premier président de la Cour, Jimmy Munganga Ngwaka, vise à renforcer les capacités des députés en matière d’audit, condition sine qua non pour exercer un contrôle rigoureux sur les activités gouvernementales.
La sollicitude de Vital Kamerhe envers les intérêts de la Cour des Comptes dans les discussions imminentes sur la loi de finances 2025 témoigne de son engagement à améliorer la gestion des finances publiques en RDC. En offrant un appui technique aux députés, la Cour des Comptes se positionne comme un cadre d’excellence au service du Parlement, pour assurer une gouvernance efficace et responsable.
Mais quel impact aura cette démarche sur l’actualité politique de la RDC ? En outillant les élus, le pays pourrait franchir un pas significatif vers une gestion plus transparente des finances publiques. Les citoyens, informés grâce à leurs représentants, pourraient eux aussi bénéficier d’une meilleure compréhension des enjeux qui entourent les dépenses de l’État.
Le contexte actuel des « nouvelles du Congo » et l’implication de congoquotidien à rapporter des « infos en direct RDC » renforcent l’enjeu d’une gouvernance assainie. Cette initiative de l’Assemblée nationale, soutenue par la Cour des Comptes, pourrait s’inscrire dans la lignée d’une République Démocratique du Congo tournée vers un avenir fidèle aux meilleures pratiques de gouvernance, sur le modèle des démocraties modernes.
Source: radiookapi.net