En la République Démocratique du Congo, l’enceinte vibrante de l’Assemblée nationale se prépare à l’aube d’un nouveau chapitre législatif. Le lundi marquera un jalon historique avec l’ouverture d’une session extraordinaire, actant le commencement de la législature 2024-2028. Le rideau se lève sur la mise en scène du bureau d’âge, révélation anticipée dimanche par des indiscrétions parlementaires.

Cette concrétisation de la démocratie verra le secrétariat général annoncer aux représentants de la nation, dans une plénière solennelle, les têtes d’affiche de ce prélude constitutionnel : le député pionnier en âge, encadré par les deux plus jeunes députés, assurant les rôles capitales de rapporteur et de questeur.

L’Assemblée nationale, théâtre des délibérations nationales, esquisse déjà les contours de cette équipe transitoire. Le vétéran des élus tiendra le marteau de président tandis que les benjamins parlementaires se partageront les feuilles des secrétaires. Cette distribution des rôles est plus qu’une tradition, c’est une cheville ouvrière de la transition démocratique.

Le menu de cette première session de l’assemblée, qui déploie ses rideaux au-delà de la simple installation de cette troupe éphémère, compte des actes fondamentaux : la légitimation des mandats des nouveaux visages de la politique, la sculptura de règles internes pour orchestrer les débats et enfin, l’enclenchement des élections qui installeront les acteurs définitifs de cette pièce législative.

Post-élections générales, en décembre, qui ont tissé le tapis de la scène politique actuelle, l’atmosphère est à la nomination des nouveaux maîtres d’œuvre du quinquennat. Egalement, le rideau se lève sur la composition de l’Assemblée nouvelle, avec l’attente de ses premiers régisseurs.
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