Dans l’écrin de l’hôtel Memling, ce jeudi 25 janvier, se dessinait une scène d’un patriotisme fervent. Le Front commun pour la jeunesse (FCJ), sous la houlette de Don Israël Mbuyi, s’est exprimé lors d’une conférence de presse sur la valse des alliances politiques s’orchestrant au cœur de l’Union sacrée. Leur message est sans ambages: la politique peut certes tracer des ponts entre idées et individus, mais elle ne doit aucunement se convertir en une ingérence ou une pression sur les épaules de l’architecte de la nation, le Président Félix Tshisekedi.

Dans une adresse empreinte de solennité, Don Israël Mbuyi a souligné l’importance de la préservation de la liberté présidentielle, au moment où Tshisekedi s’emploie à graver son nom dans la pierre de l’histoire congolaise. L’appel est clair: nulle force politique ne saurait dicter le cours de l’avenir du Congo. L’actuel Président, selon le FCJ, incarne l’unique dépositaire du pouvoir de nommer un informateur, voire un formateur de gouvernement, loin de toutes contraintes.

Le leader du FCJ, empreint d’une vision où le bien-être national prime, n’a pas manqué de dénoncer les desseins souvent uniques et mercantiles des pressions politiques: la quête partisane du pouvoir, éloignée des véritables enjeux du pays. Il a également salué la détermination de la jeunesse congolaise, alliée de poids du Président, dans le combat pour une refonte de la classe politique.

«Tout ce qui se fait sans la jeunesse est contre la jeunesse», cette déclaration de Mbuyi sonne comme une mise en garde, mais aussi comme un appel vibrant pour l’inclusion des jeunes dans tous les processus décisionnels. L’expectative est grande et l’espoir est affiché de voir le Président Tshisekedi apporter des surprises dans la nomination de l’équipe gouvernementale, et surtout, placer la jeunesse au cœur de ses préoccupations et de son action.

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