Nouvelles bouffées d’espoir soufflent à travers la République démocratique du Congo, à l’approche des élections. Dans un échange récent entre le Président de la Commission nationale des Droits de l’homme (CNDH), Paul Nsapu, et le ministre des Droits humains, Albert Fabrice Puela, les deux hommes ont réitéré leur engagement à veiller au respect des droits de l’homme.
La conversation s’est orientée vers les événements actuels, dont les élections en sont à l’avant-plan. Les deux institutions aspirent à un processus électoral dépourvu de violence et détaché de haine. Les projets conjoints visant la protection et la promotion des droits de l’homme en cette période électorale, ont également été évoqués.
Le président de la CNDH, Paul Nsapu, a affirmé que des efforts supplémentaires seront consacrés à la surveillance des situations liées à la protection et à la promotion des droits de l’homme. « Nous mènerons notre travail habituel avec une intensité accrue, renforçant ce travail parmi nos populations ainsi qu’aux activités que nous mènerons conjointement avec le pouvoir organisateur des élections, qui est la CENI, et ses assistants », a déclaré Nsapu.
Au cœur de cet échange, le président de cette institution d’appui à la démocratie a rassuré le ministre Ministre Puela que les défenseurs des droits de l’homme bénéficient désormais de la protection d’une loi qui facilite l’exercice plus libre de leur métier.
C’est une continuation positive pour Nsapu, après sa réhabilitation par le Conseil d’État dans ses fonctions de président de la CNDH, à la suite de son éviction par les membres de la commission pour des accusations qui incluaient « l’incompétence » et la « violation des droits de l’homme ».
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