Le peuple congolais a le droit de savoir comment les biens nationaux sont gérés. Il mérite des dirigeants qui travaillent dans l’intérêt de tous, et non pour s’enrichir eux-mêmes. De plus, il semble essentiel de renforcer les mécanismes de contrôle et de sanction en cas d’injustices ou de mauvaise gestion.
En ce sens, l’action de l’Inspection générale des finances (IGF) témoigne d’une volonté de faire respecter la loi et l’équité. Toutefois, l’efficacité de ce contrôle reste à prouver, face à l’audace de certains mandataires.
Il est clair que la situation actuelle ne peut plus durer. Il est grand temps que des dispositions concrètes soient prises pour que chaque citoyen congolais puisse bénéficier des fruits de la nation, et non pas seulement quelques-uns.
Dans cette perspective, des efforts doivent être déployés afin de mettre en place un système qui garantit la transparence et le respect des lois. Autrement, la démocratie congolaise ne sera qu’une coquille vide, gangrenée par la corruption et le népotisme.
Il convient donc de rester vigilant et de continuer à dénoncer ces injustices, même lorsque cela semble être une bataille difficile à remporter. Après tout, c’est grâce à une telle résistance qu’il sera possible de construire une République démocratique du Congo plus juste et équitable.