the following information:

À quelques mois des élections cruciaux de décembre 2023 en République démocratique du Congo (RDC), une nouvelle candidate s’immisce dans la course à la présidence : Hortense Kavuo Maliro. Une femme de Goma, vivant avec un handicap physique, qui s’est récemment déclarée candidate indépendante à la magistrature suprême, lors d’une conférence de presse tenue le jeudi 8 juin 2023 dans la ville de Goma.

Maliro s’est exprimée avec enthousiasme et détermination, lors de cette allocution. Elle a rappelé la garantie constitutionnelle donnée à tous les citoyens d’accéder à la direction du pays. «Je suis ravie d’annoncer ma candidature à la présidence. C’est un moment empli de joie, car nous devons poursuivre l’élan actuel et profiter de toutes les opportunités offertes par l’article 72 de notre constitution», a-t-elle déclaré.

Maliro a ensuite assuré qu’elle affronte sans crainte les autres compétiteurs pour le poste de président. «Je suis prête à postuler car en politique, nous ne sommes pas des ennemis, mais nous nous mesurons à des adversaires considérables. Je n’ai aucune peur face aux autres candidats», a-t-elle affirmé.

À quelques mois des élections clé de décembre 2023 en République démocratique du Congo (RDC), une nouvelle concurrente intègre la course à la présidence : Hortense Kavuo Maliro. Une natif de Goma, handicapée, s’est récemment révélée candidate indépendante au suprême mandat, à l’occasion d’une conférence de presse tenue le jeudi 8 juin 2023 dans la cité de Goma.

Maliro s’est exprimée avec euphorie et détermination, lors de sa déclaration. Elle a rappelé le droit constitutionnel garanti à tous les citoyens de participer à la conduite du pays. «Je suis heureuse de traduire ma candidature à la présidence. C’est un moment de plaisir, car nous devons continuer l’élan actuel et bénéficier de toutes les possibilités offertes par l’article 72 de notre constitution», s’est-elle enthousiasmée.

Maliro a ensuite confirmé qu’elle défiera sans appréhension les autres prétendants pour le poste de président. «Je suis prête à concourir car en politique, nous ne sommes pas des inimitables, mais nous nous confrontons à des opposants considérables. Je n’ai aucune terreur face aux autres candidats», a-t-elle conclu.