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« Des retenues salariales dans le cadre de la mise à la retraite des enseignants de l’EPST », tel est le symbole derrière le débat controversé qui a régné au sein des syndicats des enseignants le 30 avril dernier lors de l’assemblée générale extraordinaire organisée par l’Intersyndicale des syndicats des enseignants à Kinshasa, capitale de la RD Congo.
A visiblement marqué le début de ce débat, une soustraction de 10.000 francs congolais de la paie des enseignants de l’Enseignement primaire, Secondaire et Technique (EPST) constatée durant le mois d’avril 2023.
Des réactions diverses ont alors immédiatement suivi cette situation qu’il est loisible de qualifiée d’exhortbitante, selon les termes préférentiels des professionnels de l’enseignement. Avec comme objectif de calmer les esprits et éclairer la lanterne, l’intersyndicale des syndicats des enseignants s’est réunie pour étudier cette affaire.
Selon le communiqué final dont nous avons pu obtenir outre les informations du service de communication du ministère de l’EPST, ces retenues du salaire des enseignants sont logées dans le compte de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale des Agents Publics de l’Etat (CNSSAP), dans le cadre de la mise à la retraite des enseignants à travers le pays.
Néanmoins, dans sa volonté à réduire le taux d’inconfort d’où des spéculations auront habité les esprits ici et là, l’intersyndicale a promis d’engager des contacts d’harmonisation de vues entre le banc syndical de l’EPST et la CNSSAP pour mieux étudier cette situation. Ces pourparlers auront lieu avant le 5 mai 2023 et leurs conclusions seront communiquées à la presse en temps et en heures.
Enfin, il est important de retenir que ce nouveau régime prend racine dans le cadre de la loi nº22/031 du 15 juillet 2022 portant régime de sécurité sociale en République démocratique du Congo.